Meilleure Forme Pour Supprimer Les Sources Du Noyau Lxr Linux

J’espère que cet article de blog sur les faits vous aidera lorsque les clients repéreront les sources du noyau lxr linux.

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    LXR est normalement un nouvel indexeur de code source à usage général ainsi qu’une référence croisée de navigation Web incluse dans le code source avec des liens permettant de caractériser une personne et utilisant presque tous les identifiants. Le LXR s’appelait auparavant le “Linux Cross-Referencer”, bien qu’il s’est avéré suffisamment générique pour s’exercer à n’importe quel projet en dehors du vrai noyau Linux.

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  • LXR Cross Habituellement incontestablement l’éditeur de liens est connu. exercer un identifiant spécifique.

    Historique

    LXR est d’abord né du besoin d’un outil incontestablement nouveau pour surveiller le noyau Linux pendant son développement (d’où l’ancien nom : LXR terrain pour “Linux Cross-Referencer”). Un tel outil est d’autant plus nécessaire que la documentation est délimitée et le nombre de participants est grand.

    Deux étudiants norvégiens, Arne Georg Gleditsch et Per Gjermshus, se sont intéressés au framework Linux, ont commencé par écrire un petit programme, ont mémorisé un graphique familial de ses fichiers via un navigateur Web ou ont démontré l’utilisation de variables après vous avoir vu voyez, le nom. Connaissant l’intérêt typique, ils l’ont rapidement produit directement sur SourceForge (en 1994 ? [1] ).

    Le temps perdu est passé, j’ai consulté l’équipe de développement pour vraiment faire mûrir ce code ; cependant, leur nombre personnel n’a jamais dépassé 10 . [2] De par sa nature, LXR est un projet hébergé typique de SourceForge, mais il a une durabilité exceptionnelle parmi les petits projets.

    lxr unix like kernel sources

    Un des premiers développeurs a recherché un nouveau concept qui a rendu LXRng possible. Ce codage expérimental ne contiendra pas toutes les fonctionnalités trouvées dans une version traditionnelle, et en particulier, il s’éloigne à l’origine des bases de LXR.

    Même s’il n’y avait probablement pas de connexion à côté de l’outil, le LXR est passé par quelques fissures dans l’enregistrement, par exemple. Revue Linux. [3] Cependant, lors du référencement de Gathering et de LXR sur Internet, il y a souvent confusion entre l’outil lui-même et les instances de LXR qui affichent le code d’offre trouvé (par exemple, de nombreux sites “LXR” normalement à l’origine lié à “Linux Cross -Referencer”).

    Après que Mozilla ait fourni LXR pour indexer son code source pour Mozilla, une suite d’applications, Mozilla a changé LXR en MXR (référence croisée Mozilla). MXR a été conçu pour répondre aux exigences de développement telles que l’utilisation du code Mozilla, une grande variété de bases de code C ++ et JavaScript. Après des années d’utilisation de mxr, Mozilla travaille malheureusement sur un nouvel outil qui améliore l’interface utilisateur Ajax statique et dynamique. Le résultat est DXR (référence croisée de Dehydra [4] ). Après le développement DXR complet, la situation MXR disponible sur mxr.mozilla.org a été désactivée.

    Technologie

    Qu’est-ce que l’élixir Bootlin ?

    Elixir vraiment un renvoi à la politique d’origine, inspiré par – LXR. Il dispose d’une mémoire de données simple (rappelant les anciennes versions de LXR) pour un espace rapide et pratique pour le stockage des requêtes. Vous pourrez peut-être profiter de cela en action en comparant la note éventuellement sur https://elixir.bootlin.com/. cette documentation concerne la version 2.0 d’Elixir.

    La recherche consciente du minimalisme évite d’utiliser un nombre incroyable de solutions différentes. Cela limite les dépendances, sans parler du fait que le logiciel peut être pris en charge dans de nombreuses configurations sans adaptation particulière.

    Les options de construction mettent en place des langages interprétés (tels que la justification Java ou JavaScript) qui interdisent ou nécessitent la conformité HTML 4.01.

    Le principe du moindre effort interdit les articles et les critiques si le programme est déjà disponible (au moins dans le domaine public).

    Cela signifie prendre un navigateur web pour le moment (HTML en plus du CSS permet de créer des super mises en page), des définitions et des liens stockés dans une base de données relationnelle disponible dans le marché, et analyser abondamment leurs ctags -Outil permettre .

    LXR peut être écrit en Perl, ce qui peut être une préférence pratique personnelle pour les scripts CGI, mais pas particulièrement adapté pour le lexique en plus de l’analyse. [5]

    1. plusieurs options de stockage : MySQL, PostgreSQL, SQLite ou éventuellement Oracle
    2. Sélection de texte intégral entre Glimpse et SWISH-E
    3. Alternatives gratuites au serveur HTTP tant qu’il a la capacité d’exécuter des scripts CGI (instructions données pour Apache, Cherokee, lighttpd, Nginx et thttpd)
    4. Fichier source déposé dans le répertoire actuel ou dans le référentiel de contrôle de libération ( [6] choisissez entre CVS, Git, [7] Mercurial et Subversion).

    Utilisation

    lxr linux kernel sources

    Après avoir installé le logiciel, ce n’est pas votre propre tâche triviale, mais cela ne nécessite pas de bonnes connaissances particulières. Le code du flux doit finir par être prétraité et le LXR configuré pour l’afficher.

    Différentes versions du code source sont utilisées via des sous-répertoires.
    L’alternative est également de conserver le code source dans un système de contrôle de version différent.

    Le code est en effet indexé dans la deuxième étape : les identifiants sont manipulés avec précision et leur localisation est saisie dans la base de données privilégiée. La réindexation n’est requise que si le code actuel change, sinon une nouvelle version est littéralement ajoutée.

    Après cela, lancez simplement un navigateur Web par l’URL qui correspond au code source et parcourez tous les fichiers sous les hyperliens interdépendants pour trouver les informations d’identification.

    Compétences et limites

    Qu’est-ce qu’un code source particulier de Linux ?

    Le Linux Information Project identifie la programmation source comme suit : (c’est-à-dire des caractères alphanumériques lisibles par l’homme).

    Le code source peut être écrit dans n’importe quel ‘langage’ capable de gérer les ctags bruyants, mais en général les parseurs ne sont pas très bons.

    Deux versions de notre même fichier peuvent être mises en évidence visuellement à côté des différences (en utilisant la commande diff run times LXR).

    En plus des liens hypertextes sous ses variables, une recherche en ligne permet de rentrer dans un identifiant saisi par l’utilisateur.

    Aux projets autour des limitations de l’étape d’énumération, les deux caractères également dans la séquence (texte intégral) peuvent être plus recherchés par des recherches minutieuses dans la racine électronique des fichiers de cause.

    Les limitations de LXR sont des outils de support spéciaux, dans de nombreux cas des ctags maladroits. Mais la principale cause d’inquiétude pour une personne est principalement les autorisations de répertoire incorrectes.

    Une autre limitation est que la conception du site Web utilise simplement une analyse de signal statique, par opposition à toute autre solution utile qui effectue une analyse sémantique à une toute nouvelle étape de compilation.

    Où puis-je certainement télécharger les sources du noyau Linux ?

    Le signal actuel pour les principaux composants Linux est toujours à sélectionner à la fois dans l’archive tar complète (la bibliothèque fournie avec la commande tar) et dans un petit patch de la section officielle du noyau Linux, http://www.kernel.org.

    Un utilisateur expérimenté peut modifier la mise en page et le rendu de LXR en personnalisant les habillages de page (écrits en HTML) et simplement en cascade de linge de lit (CSS).

    Collections LXR